Description
Le Secret de Mélanie, bergère de La Salette, falsifié
Preuves que le texte daté de 1851 est un faux et que Michel Corteville a été berné (260 pages).
Le 19 septembre 1846, à La Salette, la jeune bergère Mélanie voit la Sainte Vierge.
En larmes, elle lui dit notamment que Rome perdra la Foi et deviendra le Siège de l’Antéchrist, et que l’Église sera éclipsée.
Mgr de Bruillard a reconnu le caractère surnaturel de cet événement en 1851, et Mélanie a publié tout le message de La Salette en 1879, avec approbation ecclésiastique.
Le 2 octobre 1999, dans des archives dont Joseph Ratzinger était responsable, Michel Corteville découvre un manuscrit qu’il croit être celui que Mélanie écrivit le 6 juillet 1851 pour le Pape Pie IX dans le cadre de l’enquête officielle.
Or, curieusement, il n’y est plus question ni d’apostasie de Rome devenant le Siège de l’Antéchrist, ni d’éclipse de l’Église.
Cette découverte a donc permis de prétendre que ces prophéties apocalyptiques n’étaient que des inventions tardives.
Cette affaire est à rapprocher d’une autre chronologiquement proche : celle du 3ème Secret de Fatima, prétendument dévoilé le 26 juin 2000 par nul autre que… le même Joseph Ratzinger.
Sur la base de témoignages d’époque réunis pour la première fois, nous démontrons de manière définitive que le manuscrit trouvé en 1999 n’est pas de Mélanie et qu’il s’agit d’un faux, tout comme le prétendu “secret” du 26 juin 2000.
Ces deux affaires n’en forment en réalité qu’une seule : il s’agit d’une même opération visant à discréditer les avertissements de Notre-Dame à propos de l’apostasie actuelle.
Ces messages gêneraient-ils ceux qui sont à Rome depuis Vatican II, cette « nouvelle Pentecôte » voulue par Jean XXIII ? Se sentent-ils visés par ces prophéties qu’ils veulent faire disparaître ? N’est-ce pas comme une confirmation de leur véracité ?
Démasquons donc ces loups en peau de brebis.